Oscar et les Nuages
Voyage dans le royaume de l'imaginaire
Oscar vit dans un monde où les nuages lui murmurent des histoires
Les nuages parlent
écoutons les
Qui n’a jamais joué à déceler les formes cachées dans les nuages ?
Tortue, requin, dragon, les limites sont celles de nos yeux.
Dans ce spectacle participatif, les enfants imaginent, et le conteur raconte les histoires en fonction de ce qu’ils découvrent dans les nuages.
Qu’y a t-il à l’intérieur de la coquille d’un escargot ?
Quel trésor cache l’aile du dragon ?
Quel fabuleux voyage promet la rencontre
avec la reine des tortues ?
Au delà des cieux
Un jour, de retour à la maison, Oscar apprend par son père que sa mère est partie.
Elle a rejoint le royaume des nuages.
Grâce à la ferveur de son imaginaire, Oscar partira en voyage.
Chevauchant les nuages, il traversera des tempêtes, s’exaltera de mille merveilles, rencontrera des êtres bienveillants.
Et au bout du voyage – mais ne le dites pas c’est un secret –
il retrouvera sa maman.
Note d'intention
L’imagination est comme un arbre-fleur.
Il s’épanouit en toute saison. L’imagination s’habille de tous les possibles.
Les enfants ont cette faculté innée.
Je le constate durant ce spectacle, ils imaginent avec une telle désinvolture, une telle facilité qu’il parait évident qu’inventer devient une condition nécessaire à leur croissance, autant que manger, boire ou respirer.
Imaginer c’est peut être faire respirer son esprit ?
Comment raconter l’inénarrable à de jeunes oreilles ?
La métaphore d’abord, la métaphore ensuite, la métaphore toujours.
Parce que le mot – mort – aspire tout, c’est pourquoi il est nécessaire d’utiliser les mille chemins de la métaphore.
Durant le spectacle le mot n’est jamais nommé, persiste la métaphore : Le royaume des nuages.
La métaphore a cette incroyable faculté d’être ramifiante, de faire sur les oreilles ce que les nuages font sur les regards : s’adapter.
La joie est l’élément qui traverse le spectacle de la première note au dernier mot.
Joie d’être ensemble, joie de créer, joie de jouer, joie de l’immensité des possibles.